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Plaie de l'épaule de Jésus

Très aimé Seigneur, très doux Agneau de Dieu,
Moi pauvre pécheur, j’adore et vénère la très Sainte Plaie que Vous avez reçue à l’épaule en portant au Calvaire la très lourde croix qui laissa découverts trois os saints, occasionnant une immense douleur.
Je Vous supplie, en vertu des mérites de ladite Plaie, d’avoir pitié de moi, en me pardonnant de tous mes péchés mortels ou véniels, en m’assistant à l’heure de ma mort et en me conduisant dans Votre heureux Royaume.
Amen !

 

 

Dévotion à la Sainte Plaie de l’épaule de Jésus

 

Révélation faite à saint Bernard de la plaie inconnue de l’Épaule de Jésus-Christ, ouverte par le poids de la Croix. Jésus lui dit : 

     «J’eus, en portant la Croix, une plaie profonde de trois doigts et trois os découverts sur l’épaule. Cette plaie qui n’est pas connue des hommes m’a occasionné plus de peine et de douleur que toutes les autres. Mais révèle-la aux fidèles chrétiens et sache que quelque grâce qui me sera demandée en vertu de cette Plaie, leur sera accordée. Et à tous ceux qui, par amour pour elle, m’honoreront chaque jour par trois Pater, Ave et Gloria, je pardonnerai les péchés véniels et je ne me souviendrai plus des mortels; ils ne mourront pas de mort imprévue, à l’heure de leur mort ils seront visités par la bienheureuse Vierge et ils obtiendront encore la grâce et la miséricorde.» Cette prière et cette dévotion ont été acceptées par le Pape Eugène III.

Saint Pio de Pietrelcina, moine capucin, prêtre et mystique, est mort en 1968. Il était célèbre comme confesseur et comme un saint homme, qui pendant plus de 50 ans porta sur ses pieds et ses mains les stigmates du Christ.

Dans son livre Il papa e il frate (Le pape et le moine), Stefano Campanella rapporte un échange très intéressant entre le futur saint Pio et Karol Wojtyla, futur pape saint Jean-Paul II. Wojtyla demanda à Padre Pio lequel des stigmates était le plus douloureux, s’attendant à ce que soit la blessure au flanc, mais le moine répondit : « C’est la plaie de l’épaule, que personne ne connaît et qui n’a jamais été soignée ».

En 2008, l’auteur américain Frank Rega écrivit à propos de Padre Pio : « Il avait confié au moine Modestino Fucci que c’est en enlevant son maillot de corps qu’il souffrait le plus. Frère Modestino, tout comme le père Wojtyla, pensait que c’était à cause du stigmate au flanc droit. Mais le 4 février 1974, chargé de faire l’inventaire de tout ce que contenait la cellule du moine défunt, il découvrit que le maillot de corps de Padre Pio comportait des taches de sang au niveau de l’épaule droite.

Dans sa prière du soir, Frère Modestino demanda à Padre Pio de lui expliquer le sens de ces tâches de sang et de lui envoyer un signe s’il avait véritablement porté la Plaie de l’épaule du Christ. Il alla se coucher mais fut réveillé par une douleur atroce à l’épaule droite, comme si un couteau l’avait taillée jusqu’à l’os. Il avait l’impression qu’il allait mourir si la douleur persistait, mais elle fut de courte durée. Puis sa cellule se remplit d’un divin parfum de fleurs – signe de la présence spirituelle de Padre Pio – et Modestino entendit une voix qui disait : « Voici ce que j’ai souffert ».

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